Les problèmes de transport bruxellois, par les élèves de l’Institut Dominique Pire (Saint-Gilles)

Chers lecteurs,

Nous avons un problème par rapport aux habitudes de transport de nos chers compatriotes de Bruxelles.

Pour commencer, le premier problème est dû au fait que les Bruxellois n’emploient peut-être pas le bon mode de transport, car durant les heures de pointe, il y a énormément de perte de temps en raison des embouteillages en ville. Pour information, il y a plus de 400.000 véhicules qui empruntent nos routes chaque jour.

Ensuite, en ce qui concerne la pollution due au nombre de voitures à un impact important sur ; l’environnement, émissions de CO2, gaz à effet de serre… Puis, les véhicules ont un autre effet sur la population, car la pollution sonore y est très présente, ce qui cause un impact sur la santé et sur le moral des Bruxellois.

Si on devait parler du point de vue économique, le prix du diesel a subi une nette augmentation par rapport à celui de l’essence. Jusqu’à présent le diesel était moins taxé. Dorénavant, le prix de ce carburant a progressé. En conséquence, certains types de véhicules seront bientôt interdits dans la ville de Bruxelles.

Depuis quelque temps, le taux d’occupations de l’espace public par les voitures est en hausse. Ce qui affecte le nombre de places de parkings qui est en diminution, ce qui réduit également le nombre d’espaces libres. On trouve de plus en plus de parkings payants et le prix de celui-ci est de plus en plus onéreux.

Pour parvenir à changer nos habitudes, plusieurs solutions sont possibles :

Tout d’abord, on peut réfléchir à des énergies renouvelables comme les voitures électriques, ce qui aura pour effet de baisser l’émission de CO2. Deuxièmement, en effet, les voitures électriques coûtent trop cher. C’est pour cela, une autre alternative existe, qui est les transports en commun. En prenant les transports, il y aura moins de monde sur les routes donc moins de pollution (gaz à effet de serre, pollution sonore). En plus, vous économiserez une somme importante (pas de taxe, assurances…). Pour y arriver, il faudra mieux répartir la présence de l’offre de transports surtout dans les petites villes et les villages lointains.

Avant de finir, il ne faut pas oublier le moyen de transport par excellence : le vélo. En effet, le vélo présente beaucoup d’avantages comme la rapidité et l’effet positif sur la santé. Par contre, il faudra une meilleure infrastructure pour les vélos. En prenant l’exemple des Pays-Bas qui est très développé en matière des pistes cyclables et des routes pour vélo.

Pour finir, il existe beaucoup d’intermédiaires pour une meilleure mobilité. Il faut juste prendre le temps pour réfléchir à la question suivante : « Comment les améliorer ? », car le futur de demain se construit aujourd’hui.